((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
Les ventes d'automobiles aux États-Unis ont probablement augmenté au cours des trois premiers mois de l'année en raison d'une demande stable, selon les données des constructeurs automobiles mardi, alors que l'industrie se prépare aux retombées des derniers tarifs douaniers du président Donald Trump.
Le cabinet d'études de marché Cox Automotive a estimé que le volume des ventes de véhicules neufs aux États-Unis a augmenté de 0,6% à 3,79 millions d'unités au premier trimestre par rapport à l'année précédente.
"Les droits de douane sur les véhicules automobiles, qui doivent entrer en vigueur le 2 avril, pourraient avoir freiné certains achats de véhicules au premier trimestre", a déclaré Jessica Caldwell, responsable des études chez Edmunds, fournisseur de données sur l'industrie automobile.
Les pick-up et les SUV de General Motors GM.N devraient l'aider à conserver sa première place au cours du trimestre, suivi par l'unité nord-américaine de Toyota Motor 7203.T et Ford F.N , selon Cox.
Le fabricant de véhicules électriques Tesla TSLA.O est également prévu pour annoncer une baisse des livraisons de véhicules au premier trimestre mercredi.
La décision du président Trump d'imposer des droits de douane sur les importations d'automobiles américaines est largement considérée comme pesant sur le moral des consommateurs et forçant à repenser les achats.
Les droits de douane pourraient également réduire le nombre de véhicules importés à moindre coût sur le marché, tels que la camionnette compacte Maverick de Ford, ce qui pèserait encore plus sur l'accessibilité financière alors que le prix moyen d'un véhicule neuf avoisine les 50 000 dollars.
"La possibilité d'une hausse de l'inflation due à de nouveaux droits de douane aux frontières américaines pourrait freiner les ventes de véhicules neufs en 2025", a déclaré M. Cox.
M. Caldwell a déclaré que les droits de douane créeraient probablement des difficultés pour l'industrie au cours du deuxième trimestre et au-delà, et s'attend à ce que les remises soient "plus difficiles à obtenir".
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